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Pourquoi y assister ?

 

Une grossesse c'est l'attente d'un heureux évènement, mais quand la mort surgit cela va à l'encontre du sens même de la vie. Les parents se retrouvent désemparés, amputés d'une partie d'eux-mêmes, cette perte va créer un sentiment d'injustice, d'incompréhension, de culpabilité.

Comment vivre après une telle perte ?

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Que ce soit une intervention de grossesse, une fausse couche, un bébé mort après la naissance ou dans les 1er mois de vie, il y a aussi un véritable travail de deuil à faire pour libérer les émotions comme la tristesse, la colère, le sentiment de se sentir coupable...

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Une perte de grossesse précoce est un évènement dramatique inconcevable et inacceptable pour les parents et les autres enfants de la famille.

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Il est fondamental de parler de ce qui s'est passé, d'exprimer son ressenti par des mots et dans des courriers symboliques.

Ce n'est pas remuer "le couteau dans la plaie" mais permettre d'évacuer progressivement le trop plein de charge émotionnelle. Si l'on n'extériorise pas ses émotions, ce trop plein restera dans le corps et risquera de l'endommager, et faire obstacle au travail de deuil.

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C'est également permettre de donner une identité à cet enfant, sa place au sein du clan familial car l'absence de reconnaissance sociale de ce deuil peut rendre celui-ci plus difficile à faire pour les parents.

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Un atelier qui accueillera aussi bien les mamans que les papas qui le désirent, dans un cadre intimiste avec un accompagnement bienveillant et respectueux.

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"Le bébé décédé doit prendre sa place, pas toute la place"

Suzy Fréchette-Piperni

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Programme Atelier

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- Cercle de parole et d'échanges

- Protocole de deuil

- Rituel d'enterrement (pour IVG/Fausse couche)

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Informations sur l'atelier

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- Durée : 3h00 (pause collation offerte)

 

- Lieu : Saint-Paul-de-Vence

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- Limite places : Max. 6 personnes

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- Tarifs : 35 euros  (acompte de 15 euros pour valider votre inscription)

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"Parler de ses peines, c’est déjà se consoler."

Albert Camus

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